Illustration surréaliste représentant une femme seule dans un paysage brumeux, entourée de symboles évoquant les conséquences du traitement silencieux : un sablier fissuré illustrant le temps perdu, un miroir brisé reflétant une image déformée d’elle-même, et des chaînes discrètes enroulées autour de ses poignets, symbolisant l’emprise émotionnelle.

Publications similaires

4 commentaires

  1. Quel article ! Tout est dit, cet article est très complet sur le sujet et dresse une noirceur terrible sur ce type de relation qui en fait n’en n’est pas une. Sans communication il ne peut y avoir de relation. Il est clair qu’il faut prendre conscience du piège qui se prépare avant que cela prenne des proportions catastrophiques. Se faire aider, retrouver une communication ailleurs, consulter peut faire sortir de cet enlisement destructeur… Je viens de publier un article sur comment créer de vraies connections en communication, quel contraste !!!
    Bravo pour cet article qui met au jour un enfer caché.
    Pascal

    1. Merci beaucoup Pascal pour ton retour ! Je suis ravie que l’article t’ait parlé. Tu as tout à fait raison : sans communication, il ne peut pas y avoir de véritable relation. Ce genre de dynamique enferme dans une illusion de lien, alors qu’en réalité, c’est un engrenage destructeur. Prendre conscience du piège avant qu’il ne se referme est une étape essentielle, et comme tu le dis, retrouver une communication ailleurs ou se faire aider peut vraiment faire la différence.

      Je vais aller lire ton article, ça m’intéresse beaucoup ! À la base, je m’étais un peu formée à la CNV, et c’est vrai que dans un cadre sain, ces outils permettent de créer de vraies connexions. Mais quand on essaie d’instaurer une communication authentique avec quelqu’un qui, en réalité, ne le veut pas… mais ne le dit pas, c’est une toute autre expérience. Ça peut même devenir une arme à double tranchant.

      Merci encore pour ton partage et bravo pour ton article aussi ! 😊

  2. Je trouve agréable de lire un article sur les violences qui ne mentionne pas la femme comme étant systématiquement la victime , mais utilisant plutôt des termes neutres (sauf sur les tableaux numériques).

    1. Merci beaucoup pour ton retour Cindy ! Je suis contente que cette approche te parle. J’essaie en effet d’aborder ces sujets de manière nuancée, car même si les femmes sont majoritairement concernées, il est important de ne pas invisibiliser d’autres réalités.

      Concernant les tableaux numériques, je note ta remarque. J’ai fait ce choix pour m’adresser en priorité aux femmes, mais je comprends l’intérêt d’une formulation plus neutre. Après, ça varie en fonction de l’article, du jour, de l’humeur et du temps que j’ai pour ajuster les détails. 🙂

      Merci d’avoir pris le temps de partager ton ressenti ! N’hésite pas à revenir échanger si le sujet t’intéresse. 😊

Laisser un commentaire