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4 commentaires

  1. En somme, quand le discours de l’autre assène des « Tu, Toi, ton »… et non sur son ressenti ou ses besoins, ou quand il déprécie ce que je suis globalement au lieu de pointer un acte précis, je dois prendre du recul et me décaler dans la scène. Hâte de lire les deux prochains articles. Merci, déjà pour ces premières mises au point salutaires !

    1. Ce que tu dis est tellement juste… Ce recul dont tu parles, c’est souvent la première bouée de sauvetage.
      Merci pour ton retour si clair et profond — j’espère que la suite t’apportera encore plus de clarté (et d’élan).

  2. Béa🌷 dit :

    Merci Valérie pour cet article d’une rare justesse, à la fois profond et concret.
    Tu mets en mots avec beaucoup de finesse un mécanisme destructeur trop banalisé dans le couple : la critique constante. J’ai trouvé ta manière de décortiquer ce cercle vicieux à la fois lucide, respectueuse… et surtout pleine d’espoir. Tu ne condamnes pas, tu éclaires. Et ça, c’est précieux.
    C’est le genre de lecture qui bouscule juste ce qu’il faut pour provoquer une prise de conscience, sans culpabiliser. J’ai moi-même repensé à certains fonctionnements passés que je n’avais jamais vraiment identifiés comme ça. Ton article ouvre la voie à plus de douceur, de responsabilité… et de vrai lien.
    Merci pour cette belle contribution au mieux-aimer

    1. Merci Béa, ça me fait vraiment plaisir de lire ton retour.
      J’ai essayé d’écrire les choses comme je les ressens, alors je suis heureuse que l’article ait pu t’aider à revisiter certains souvenirs.
      Merci d’avoir pris le temps de me l’écrire.

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